La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie III) : la guerre civile en 1793

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie III) : la guerre civile en 1793

En 1793, la Première Coalition, menace extérieure, s’accompagnait d’une guerre civile, menace intérieure. Les Montagnards implémentèrent une taxe contre les riches, recrutèrent parmi les « pauvres » pour créer une armée révolutionnaire, créèrent un tribunal révolutionnaire et le Comité de Salut public, et enfin, décidèrent d’une levée de masse de 300 000 hommes. Les Montagnards adoptaient le programme des Enragés, les extrémistes de gauche. Montagnards et Girondins se déchiraient dans une guerre politique. Une foule de « sans-culottes » permit l’arrestation des principaux députés Girondins, dont Brissot.

Jean-Paul Marat (1743-1793)

Le coup d’Etat jacobin reléguait la province au second rôle, taxant les Girondins de « fédéralisme ». La province s’éleva contre la dictature et fit sécession. Royaliste, religieuse, contre l’enrôlement de masse de la Convention : la Vendée confronta à son tour la Montagne. Charlotte de Corday, jeune royaliste éduquée de Caen, assassina alors froidement Marat dans sa baignoire le 13 juillet 1793. Coup dur : Marat, journaliste, avait une grande influence sur le peuple. Six jours plus tard, Charlotte était guillotinée. La Convention promulgua une nouvelle constitution, une ruse rectifiant tout ce qui lui était reproché. Bien des villes se rattachèrent alors à Paris. L’heure n’était pourtant pas à la mansuétude : le maire de Bordeaux demanda le pardon ; 1 800 hommes de l’armée révolutionnaire prirent Bordeaux, non défendue, désarment 12 000 gardes nationaux, guillotinent le maire et 881 Bordelais, pour ainsi dire sans motif. Tous les Girondins (parti politique) furent guillotinés ou traqués puis assassinés. La Terreur débutait.

Henri de La Rochejaquelein (1772- 1794)

En Vendée, des soldats républicains menèrent une sanglante répression le 11 mars 1793 à Machecoul. Les paysans, en réaction, massacrèrent des républicains. Rapidement, les Vendéens formèrent l’armée catholique royale. La Convention versait déjà dans sa nouvelle idéologie purificatrice : il fallait exterminer l’opposition. La Vendée militaire, de la Loire au nord à Nantes et Saumur au sud, serait victime des pires atrocités. La guerre de Vendée s’engageait par des succès vendéens que des chefs charismatiques mais à l’autorité relative obtenaient, comme le jeune La Rochejaquelein, 20 ans, qui disait : « Je ne suis qu’un jeune homme, mais si je recule, tuez-moi, si j’avance, suivez-moi, si je meurs, vengez-moi. » Les premiers objectifs furent Saumur et Nantes au sud, des grandes villes défendues par des garnisons républicaines. La première tomba devant les Vendéens le 9 juin 1793, mais la seconde tint bon malgré la progression du général Charette car le généralissime vendéen Cathelineau fut lui tué lors des combats. La Convention reprenait l’initiative et décida d’opter pour la destruction systématique de la Vendée. Les victoires et les défaites s’enchainaient pour les Vendéens jusqu’à la prise par les républicains de Châtillon, considérée comme la capitale vendéenne, le 3 juillet. Une vaste contre-attaque repoussa les Républicains. Le commandement chez ces derniers changea, avait déjà changé et changerait encore plusieurs fois. Les généraux se voyaient guillotinés en permanence après leurs échecs alors que les représentants aux armées, sur le terrain, leur donnaient des directives incohérentes.

François Athanase Charette de La Contrie (1763-1796)

Les Vendéens se décidèrent à attaquer Luçon le 14 août. 40 000 Vendéens se rassemblèrent sous les généraux La Rochejaquelein et Charette pour affronter 6 000 soldats républicains. Ces derniers, formés et appuyés de canons, infligèrent une grave défaite aux Vendéens. En septembre, les fameux mayençais arrivèrent en Vendée. S’ils ne pouvaient plus affronter la coalition, ils pouvaient affronter l’ennemi intérieur. Un nouveau plan fut bâti par les Républicains tandis que les chefs vendéens souffraient de désaccords. Sans action coordonnée de leur part, la rébellion allait être écrasée. Du moins l’aurait-elle été si le camp républicain ne connaissait pas lui aussi les affres de la politique. La Convention montagnarde avait certes une fâcheuse tendance à guillotiner les généraux mais aussi avait-elle tendance à favoriser les sans-culottes convaincus mais incompétents au détriment des chefs compétents mais moins politisés. C’est de cette manière que certains incompétents furent faits généraux. Les tensions entre les généraux républicains sauvèrent les Vendéens.

Jean-Baptiste Kléber (1753-1800)

Un général républicain, en revanche, commençait à sortir du lot : Kléber. Ce dernier se battait intelligemment, menait ses hommes avec sang-froid, un militaire très compétent dont le premier éclat fut Torfou où il résista à 20 000 Vendéens avec 2 000 hommes le 19 septembre. Un incompétent prit le commandement officiel de la guerre de Vendée mais resta loin des combats : Kléber possédait la réalité du commandement. La cohérence républicaine retrouvée, les forces vendéennes, acculées, luttèrent à Cholet le 17 octobre. Face aux 40 000 Vendéens, Kléber alignait 13 000 hommes. Pourtant, son commandement fit la différence : il vint en personne redresser la situation sur son aile gauche qui subissait un lourd assaut vendéen puis il provoqua la déroute vendéenne en poussant au centre avec le brillant général Marceau. Plusieurs leaders vendéens furent tués lors de cette bataille. La Rochejaquelein devint généralissime vendéen. Le général en chef républicain, incompétent au possible et ne laissant plus libre champ à l’excellent général de division Kléber, donna des ordres absurdes. Une retraite en découla. Le général en chef fut enfin relevé de son commandement et les représentants aux armées, qui avaient eu l’occasion de mesurer son talent, demandèrent logiquement à Kléber de prendre sa suite. Kléber refusa par cette lettre bien tournée : « L’intérêt de la patrie m’est plus cher que ma réputation, et je le trahirais si je ne me dévoilais tout entier. Vous seriez plus coupable que moi, si vous n’aviez égard à la prière que je vous fais, de me soustraire au poids d’un fardeau trop lourd pour mes épaules. » Élégant et intelligent refus dans le contexte de la Terreur où les généraux vaincus étaient guillotinés sans autre forme de procès. Un nouvel incompétent fut ainsi promu mais Kléber conserva la maîtrise réelle des opérations en Vendée.

Jean « Chouan » Cottereau (1757-1794)

Les Vendéens voyaient leurs efforts grevés par deux facteurs déterminants. Le premier était que les Vendéens, pour la plupart des paysans, refusaient de s’aventurer trop loin de leurs terres. Dès lors, impossible d’espérer une victoire autre qu’éphémère. Le second problème était que la Vendée militaire ne possédait aucun port. Or, disposer d’un port était se munir d’un solide appui anglais. Ces derniers étaient prêts à aider. Mais prendre une ville portuaire avec une flotte étant extrêmement compliqué, les Anglais, dont le blocus maritime sur la France venait d’être établi, rejetaient cette perspective. Les Vendéens lancèrent ainsi la « virée de Galerne » avec pour objectif la capture de Saint-Malo, un grand port. Dans cette affaire, les Vendéens pouvaient compter sur l’appui des rebelles bretons dirigés par Jean Cottereau, surnommé « chouan » (un surnom qui deviendra celui de tous les rebelles bretons). Environ 6 000 Chouans se joignirent ainsi à plus de 20 000 Vendéens commandés par La Rochejaquelein. Saint-Malo était un objectif trop ambitieux : Granville lui fut préférée. L’échec vendéen marqua le début de la fin de l’armée catholique royale qui se délitait car les paysans devaient protéger leur famille des Républicains (surnommés les « Bleus »).

Pour autant, l’armée rebelle avait encore de beaux jours devant elle avec une victoire facile à Pontorson face à un général minable mais sans-culotte et en arrachant une victoire difficile à Dol fin novembre notamment contre Kléber et Marceau. Les Républicains déploraient 6 000 morts, les Vendéens et les Chouans 3 000. Les massacres suivirent, perpétrés par les deux camps, entrecoupés de torture, de fusillades … Encore une fois, La Rochejaquelein poussa ses hommes à poursuivre l’ennemi jusqu’à Rennes et Nantes, les hommes refusèrent d’aller aussi loin de leurs champs. La maladie décima l’armée qui souffrait d’usure et voyait ses effectifs fondre de plus en plus contre des Républicains plus énergiques. Début décembre, les Vendéens échouèrent devant Angers mais prirent Le Mans le 12. La ville fut perdue dans la nuit. La population, hommes, femmes, enfants, fut massacrée par les Républicains, tout comme les milliers de traînards derrière l’armée. Les Chouans, qui formaient le cœur de cette armée, retraitèrent en Bretagne pour y mener la rébellion. Enfin, à Ancenis, 20 000 Vendéens de l’armée ne purent traverser la Loire. Ceux-là tentèrent de s’enfuir et furent rattrapés et massacrés à Savenay le 23 décembre 1793. Kléber parle d’un « horrible carnage » où 6 000 Vendéens, pour moitié des femmes, des enfants ou des blessés, dont 1 200 s’étaient rendus, furent massacrés sans une once de pitié. La guerre de Vendée venait de prendre fin.

La Rochejaquelein s’en tira et tenta d’entretenir la révolte jusqu’à sa mort : il fut assassiné en mars 1794. La guerre fut douce comparée à la répression qu’ignoble ne pourrait suffire à qualifier. Turreau, nouveau général en chef et ordure notoire sema la terreur sur la région vaincue avec ses « colonnes infernales » et manqua de faire repartir le feu par exemple en promettant d’épargner 2 000 Vendéens à Noirmoutier s’ils se rendaient et les faisant fusiller immédiatement après leur reddition. A Angers, 2 188 personnes furent fusillées, 90 personnes étaient guillotinées à Rennes la veille, le jour et le lendemain de Noël, puis on obligea des enfants à en fusiller d’autres dans un cimetière. A Laval et Saumur, 700 à 1 000 personnes furent fusillées ou guillotinées. Un certain Félix, professeur de chant, ordonna ces dernières exécutions ! A Nantes, on noya en masse : 4 800 personnes, dont des enfants, y succombèrent. Nombre de religieux les accompagnèrent. L’abject personnage qui ordonna ces massacres, Carrier, écrivit « Quel torrent révolutionnaires que la Loire ! ». A son départ de Vendée, les massacres continuèrent. On estime que la guerre de Vendée, avec ses horribles massacres, fit 165 000 morts. On ne peut cependant pas dire que c’est un génocide à proprement parler. C’est seulement l’expression d’un la cruauté incroyable de la Convention montagnarde.

Du reste, Charette, peut-être le dernier chef Vendéen, continua la guerre de Vendée jusqu’à sa mort en 1796 mais sans commune mesure avec 1793. La chouannerie prit la suite de la Vendée en Bretagne. Jean Chouan, esprit de la révolte, fut néanmoins tué en 1794. Une guérilla fut menée en Bretagne et fut très mal gérée par les Républicains. Ces derniers agissaient selon le principe de la « défense en surface » ce qui consiste à occuper tout le territoire. C’est la meilleure manière d’isoler ses hommes et de renforcer la guérilla. Seul Hoche, qui s’occupera avec beaucoup de réalisme des résidus de rébellion en Vendée, appliquera la bonne méthode. Il se montra très humain avec la population pour la convaincre et traqua les rebelles groupe par groupe avec de puissantes colonnes mobiles. La population finit par dénoncer le chef Charette, ce qui permit son élimination en 1796. Les Chouans connurent leur apogée après le déclin vendéen, constituant plusieurs armées dont l’armée catholique et royale de Vannes, forte de 20 000 Chouans et l’armée royale de Rennes, forte de 12 000 hommes.

Joseph Fouché (1759-1820)

Du reste, Lyon, Toulon et Marseille restaient en sécession en 1793. Lyon, assiégée par les 50 000 hommes de Kellermann le 9 août 1793, pilonnée dès le 22, capitula le 9 octobre. La Convention voulait que Lyon, qui venait d’être écrasée par 42 000 boulets, soit détruite où au moins qu’il ne reste que les maisons des pauvres. La ville changea de nom pour « Commune-Affranchie ». Une trentaine d’exécutions furent ordonnés. C’était loin d’être satisfaisant ! La Convention dépêcha sur place deux ignobles personnages : Fouché et Collot d’Herbois. La tyrannie débuta par les perquisitions, arrestations, taxes et destructions.

Jean-Marie Collot d’Herbois (1749-1796)

L’atrocité en fut la logique conséquence : 1 667 accusés furent condamnés à la guillotine ! N’importe qui pouvait être condamné à mort pour des raisons absurdes : des pompiers furent condamnés à l’échafaud pour avoir éteint des incendies pendant le siège de Lyon ! On tue par la guillotine, la fusillade voire la mitraille. Les fameuses mitrailles de Lyon voient des Lyonnais alignés attachés deux par deux face à des canons. On tire à bout portant et on achève les blessés à la baïonnette, d’autres furent recouverts de chaux … 273 Lyonnais connurent ce sort. Le massacre ne prit fin qu’avec la chute de Robespierre le 9 thermidor.

A Marseille, 24 monuments furent rasés et 250 personnes exécutées. A Toulon, désormais renommée « Port-la-Montagne », 800 habitants furent fusillés jusqu’à janvier 1794 puis plus de 200 supplémentaires moururent guillotinés. Des milliers furent expulsés hors de leur ville : Toulon, 29 000 habitants au début de la révolte, n’en comptait plus que 7 000. Plus grave était la révolte à Toulon. Les fédérés avaient livré la ville aux Anglais, y compris la partie de la flotte française de Méditerranée qui y mouillait. La Convention se devait de réagir au plus vite. Une force de 15 000 hommes fut rapidement constituée à partir de quelques soldats détachés des Alpes et de marseillais tout juste vaincus par le régime. Autant le dire plus crûment, pas une troupe bien fiable. Toulon était défendue par 20 000 hommes et soutenue par la puissante flotte anglaise qui mouillait dans sa rade. La force assiégeante fut portée à environ 20 000 hommes mais était dirigée par un incapable, ancien peintre !

Siège de Toulon en 1793

Début septembre, le commandant d’artillerie fut blessé. Un certain Napoléon Bonaparte, que l’on rencontre ici pour ne plus le lâcher ensuite, devint commandant d’artillerie sur recommandation des représentants du régime. Pour une fois, ces derniers furent clairvoyants. L’artillerie du capitaine Bonaparte était misérable. En moins d’un mois, il rassembla plus de 100 pièces d’artillerie. Bonaparte, comme il le fera toujours, analysa avec beaucoup de pertinence la situation. Il comprit que sa priorité était de faire reculer les navires anglais sous son feu d’artillerie. Si les navires reculaient, les contingents anglais dans la ville rembarqueraient aussitôt. Or, c’était le soutien de la flotte britannique qui formait le plus grand obstacle. C’était là l’effet majeur de Napoléon, c’est-à-dire son objectif principal pour obtenir la victoire face à l’ennemi. Encore fallait-il, pour le simple capitaine juste promu, pouvoir l’imposer au général sans-culotte et aux représentants de la Convention.

Napoléon à Toulon (1793)

Napoléon proposait de plus un plan dont l’effet majeur reposait sur la puissance de feu et non de choc, ce qui allait à l’encontre de la doctrine de la Convention qui consistait à manier la masse et à charger à la baïonnette. Bonaparte proposait de s’emparer d’un promontoire pour faire feu sur la rade alors que Paris pensait plutôt attaquer directement la ville. Pourtant, les représentants en mission soutenaient le capitaine Bonaparte et son plan. Carnot finit par lui-même valider le plan du jeune capitaine. Les représentants ayant autorité sur le général, celui-ci plia finalement. Il fallait attaquer le promontoire du Caire pour disposer les canons sur la pointe de l’Eguillette, permettant de faire feu à la fois sur La Petite Rade et La Grande Rade de Toulon.

Le général, à contrecœur, attaqua mais avec si peu de préparation et de troupes que l’offensive échoua et ne servit qu’à faire réaliser aux Anglais l’importance de cette hauteur. Les Anglais bâtirent un puissant fort, nommé Mulgrave, sur la position. Le général fut relevé de ses fonctions, le suivant également. Le troisième jugea à sa juste valeur le plan de Bonaparte, devenu chef de bataillon. Une sortie anglaise brisa presque le siège le 30 novembre. Le 16 décembre, de nuit, l’attaque contre le fort Mulgrave fut lancée. Assaut d’une grande violence durant lequel Napoléon fut blessé à la cuisse à l’arme blanche. Une fois le promontoire prit, tout se passa comme l’avait anticipé Napoléon. Les Anglais se retirèrent et Toulon tomba.

Résumé des menaces extérieure et intérieure en 1793

Le 9 octobre Lyon tombait, le 16 victoire à Wattignies, le 17 défaite vendéenne à Cholet, le 19 décembre prise de Toulon, le 23 défaite vendéenne à Savenay, le 26 victoire de Wissenbourg. Par ailleurs, Robespierre, écartant Danton, faisait guillotiner Marie-Antoinette le 16 octobre 1793. La guerre était gagnée à l’extérieur comme à l’intérieur. Pourtant la Terreur continuait en 1794 et se déchaînait. La Terreur n’était pas une réponse au péril mais la politique de la Convention. Plus le régime était solide, plus il tuait.

Sources (texte) du double dossier sur la période 1789-1815 :

Gaxotte, Pierre (2014). La Révolution française. Paris : Tallandier, 529p.

Marill, Jean-Marc (2018). Histoire des guerres révolutionnaires et impériales 1789-1815. Paris : Nouveau Monde éditions / Ministère des Armées, 544p.

Lentz, Thierry (2018). Le Premier Empire. Paris : Fayard / Pluriel, 832p.

Sources (images) :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Marat (Marat)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Henri_de_La_Rochejaquelein (La Rochejaquelein)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fran%C3%A7ois_Athanase_Charette_de_La_Contrie (Charrette)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Baptiste_Kl%C3%A9ber (Kléber)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean_Chouan (Jean Chouan)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Marie_Collot_d%27Herbois (Colot d’Herbois)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joseph_Fouch%C3%A9 (Fouché)

http://le-lutin-savant.com/g-napoleon-premier-empire-geographie.html (siège de Toulon)

https://www.napoleon.org/histoire-des-2-empires/dossiers-thematiques/1769-1793-la-jeunesse-dun-futur-empereur/ (Napoléon à Toulon)

http://le-lutin-savant.com/g-napoleon-premier-empire-geographie.img/Premi%C3%A8re-coalition-1792-1797-Dunkerque-Jemmapes-Valmy-Flerus-Coblence-Toulon-Bordeaux-Mayence-Turin-.jpg (résumé des menaces sur la France en 1793)

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