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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie V) : la chute de Robespierre et la Convention thermidorienne (1794-1795)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie V) : la chute de Robespierre et la Convention thermidorienne (1794-1795)

Au fait de sa puissance, Robespierre, l’Incorruptible, représentation de l’Etre Suprême de cette nouvelle religion d’Etat, semblait invincible et faisait vivre la Terreur. Pourtant, il n’était pas le seul à donner la direction de la Convention et les actions locales les plus atroces étaient bien souvent spontanées. Le rôle véritable de Robespierre dans la Terreur est sujet à débats. Par ailleurs, il était à la fin de son programme. Il prit des vacances d’un mois. Certains le voulaient au pouvoir,…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IV) : la montée en puissance de Robespierre (1794)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IV) : la montée en puissance de Robespierre (1794)

La terrible année 1793 terminée, 1794 s’annonçait meilleure. Le soulèvement fédéraliste était vaincu : la guerre de Vendée ne faisait plus que de rares remous, Lyon, Marseille et Toulon étaient rentrées, par la force, dans les rangs. La Terreur ne prenait pas fin pour autant en 1794 et prenait même un nouvel essor. Robespierre devenait assurément de plus en plus puissant et la situation nationale était sensiblement plus enviable en cette nouvelle année. Le pays, en effervescence, alignait 600 000 hommes répartis…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie III) : la guerre civile en 1793

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie III) : la guerre civile en 1793

En 1793, la Première Coalition, menace extérieure, s’accompagnait d’une guerre civile, menace intérieure. Les Montagnards implémentèrent une taxe contre les riches, recrutèrent parmi les « pauvres » pour créer une armée révolutionnaire, créèrent un tribunal révolutionnaire et le Comité de Salut public, et enfin, décidèrent d’une levée de masse de 300 000 hommes. Les Montagnards adoptaient le programme des Enragés, les extrémistes de gauche. Montagnards et Girondins se déchiraient dans une guerre politique. Une foule de « sans-culottes » permit l’arrestation des principaux députés Girondins,…

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