Archives de
Étiquette : général Hoche

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie V) : la chute de Robespierre et la Convention thermidorienne (1794-1795)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie V) : la chute de Robespierre et la Convention thermidorienne (1794-1795)

Au fait de sa puissance, Robespierre, l’Incorruptible, représentation de l’Etre Suprême de cette nouvelle religion d’Etat, semblait invincible et faisait vivre la Terreur. Pourtant, il n’était pas le seul à donner la direction de la Convention et les actions locales les plus atroces étaient bien souvent spontanées. Le rôle véritable de Robespierre dans la Terreur est sujet à débats. Par ailleurs, il était à la fin de son programme. Il prit des vacances d’un mois. Certains le voulaient au pouvoir,…

Lire la suite Lire la suite

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie III) : la guerre civile en 1793

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie III) : la guerre civile en 1793

En 1793, la Première Coalition, menace extérieure, s’accompagnait d’une guerre civile, menace intérieure. Les Montagnards implémentèrent une taxe contre les riches, recrutèrent parmi les « pauvres » pour créer une armée révolutionnaire, créèrent un tribunal révolutionnaire et le Comité de Salut public, et enfin, décidèrent d’une levée de masse de 300 000 hommes. Les Montagnards adoptaient le programme des Enragés, les extrémistes de gauche. Montagnards et Girondins se déchiraient dans une guerre politique. Une foule de « sans-culottes » permit l’arrestation des principaux députés Girondins,…

Lire la suite Lire la suite

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (PARTIE II) : Première Coalition et guerre extérieure en 1792-1793

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (PARTIE II) : Première Coalition et guerre extérieure en 1792-1793

Du fait de la Révolution française, une Première Coalition de puissances européennes fut formée dès 1792. L’Autriche, la Prusse et des princes allemands lancèrent leurs armées direction Paris. L’armée coalisée totalisait 134 000 hommes : 50 000 formaient l’aile droite (en Belgique, vers Bruxelles), 42 000 Prussiens formaient le centre sous les ordres du généralissime, le duc de Brunswick (nord de l’Allemagne, entre Cologne et Francfort) et 25 000 Autrichiens du prince de Hohenlohe-Kirchberg formaient l’aile gauche (légèrement au sud de Francfort). Pour compléter ces…

Lire la suite Lire la suite