Archives de
Étiquette : Convention Montagnarde

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie V) : la chute de Robespierre et la Convention thermidorienne (1794-1795)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie V) : la chute de Robespierre et la Convention thermidorienne (1794-1795)

Au fait de sa puissance, Robespierre, l’Incorruptible, représentation de l’Etre Suprême de cette nouvelle religion d’Etat, semblait invincible et faisait vivre la Terreur. Pourtant, il n’était pas le seul à donner la direction de la Convention et les actions locales les plus atroces étaient bien souvent spontanées. Le rôle véritable de Robespierre dans la Terreur est sujet à débats. Par ailleurs, il était à la fin de son programme. Il prit des vacances d’un mois. Certains le voulaient au pouvoir,…

Lire la suite Lire la suite

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie III) : la guerre civile en 1793

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie III) : la guerre civile en 1793

En 1793, la Première Coalition, menace extérieure, s’accompagnait d’une guerre civile, menace intérieure. Les Montagnards implémentèrent une taxe contre les riches, recrutèrent parmi les « pauvres » pour créer une armée révolutionnaire, créèrent un tribunal révolutionnaire et le Comité de Salut public, et enfin, décidèrent d’une levée de masse de 300 000 hommes. Les Montagnards adoptaient le programme des Enragés, les extrémistes de gauche. Montagnards et Girondins se déchiraient dans une guerre politique. Une foule de « sans-culottes » permit l’arrestation des principaux députés Girondins,…

Lire la suite Lire la suite

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie I) : la chute de l’Ancien Régime (1789-1793)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie I) : la chute de l’Ancien Régime (1789-1793)

Avant que la France ne sombre dans le chaos de la Révolution française (1789-1799), le niveau de vie y était plutôt bon ! Pour s’en convaincre, avançons que le commerce, intérieur comme extérieur (celui-ci multiplié par 4 depuis 1715), était en essor. En 1788, la France créait 1 061 millions de francs, un niveau qu’on ne retrouvera qu’en 1848 ! Les paysans, pour beaucoup, ne vivaient pas dans la misère mais le prétendaient car les impôts étaient calculés sur la richesse effective, c’est-à-dire…

Lire la suite Lire la suite