La Première Guerre mondiale (partie X) : la fin de la Grande Guerre (1918)

La Première Guerre mondiale (partie X) : la fin de la Grande Guerre (1918)

Rappel : qu’importe la grève militaire de la moitié de l’armée française, Haig fit repartir – non sans mal – les Britanniques à l’assaut le 31 juillet 1917. Il engagea ainsi la 3e bataille d’Ypres, énième hécatombe à l’utilité stratégique contestable. Surtout que Haig ayant pu avancer grâce à une technique novatrice dite « offensive à la Plumer » (du nom de son créateur) consistant en une avancée pas à pas, s’obstina avec la bataille de Passchendaele, extension de la 3e bataille d’Ypres. Les Allemands, qui prouvèrent là encore leur capacité à tenir la ligne, contre-attaquèrent et reprirent le terrain perdu. C’est au-delà des tranchées que l’Empire allemand fauta. En 1917, Berlin s’entendit avec Mexico : en cas d’entrée en guerre des Etats-Unis contre les puissances centrales, le Mexique devait attaquer l’oncle Sam sur ses arrières et récupérer ses terres perdues lors de la guerre américano-mexicaine de 1846-1848. Pire, les Allemands reprirent leur guerre à outrance sous-marine. Cette doctrine avait déjà tué des Américains au début du conflit et il avait été décidé de ne plus la pratiquer pour ne pas provoquer Washington. Mais en 1916, méprisant l’armée professionnelle américaine et souhaitant asphyxier le Royaume-Uni, l’Empire allemand relança ses U-Boots, au risque de fâcher les Etats-Unis. En 1916, les sous-marins allemands étaient en passe de réellement asphyxier le Royaume-Uni, mais des navires commerciaux battant pavillon américain furent coulés. En représailles, le président Wilson arma ses navires et le Royaume-Uni adopta la technique du convoi. L’Empire allemand se refusant à toute retenu et ayant provoqué les Etats-Unis par ses négociations avec le Mexique, les Etats-Unis entrèrent en guerre en avril 1917. De l’autre côté de l’Europe, après l’armistice du 15 décembre 1917, l’Allemagne reprit sa progression pour faire pression sur les bolchéviks et aboutir à une paix en bonne et due forme. Le 3 mars 1918, les bolchéviks acceptèrent toutes les demandes allemandes sans protester et signèrent la paix. La Russie perdit ainsi 750 000 km² (l’équivalent de trois fois l’Empire allemand), le tiers de ses terres agricoles, le quart de sa population et de ses capacités industrielles. Petrograd sortit d’une guerre pour plonger dans une autre, celle-ci civile. La Russie se déchira entre Blancs, Rouges, Noirs, Verts et indépendantistes ; une guerre intestine dans laquelle s’impliquèrent les puissances étrangères.

Sur le front Ouest, les Américains permirent de rompre l’équilibre. Ils étaient déjà plus de 300 000 en mars 1918. Pourtant la force terrestre des Etats-Unis était négligeable sur le papier : à peine 100 000 hommes, dont 15 000 d’élite (les marines). En 1917 et 1918, il appartenait ainsi aux Français d’équiper et d’entrainer les Américains. La mise en place de cette nouvelle force de frappe fut facilitée par le fait que certains Américains volontaires se battaient déjà comme volontaires avant l’entrée en guerre des Etats-Unis. Pershing refusa cependant catégoriquement que les Américains soient intégrés dans les effectifs clairsemés de l’armée française. Il n’était pas question qu’ils comblent seulement les brèches. Pershing refusa de ce fait l’idée de « l’amalgame » avancée par les Français. Celui-ci exigeait une armée entièrement américaine. Cette exigence était, du reste, pleinement justifiée : les Américains n’allaient pas tarder à former une colossale force de frappe. Fin 1918, le corps expéditionnaire américain, l’AEF, atteignit 4 millions d’hommes sur le front de l’ouest. A dire vrai, l’AEF n’allaient pas tant être décisive par la qualité de ses combattants que par l’effet psychologique de leur arrivée : les Allemands, éreintés autant que les Franco-Britanniques, furent pris de désespoir en voyant débarquer un nouvel Etat dans la balance. Les Américains excellèrent par ailleurs dans l’aviation, à l’image de leur meilleur As : Eddie Rickenbacker qui servit dans l’Escadrille La Fayette. Ce nom résonnait au travers des siècles : La Fayette avait lui-même, menant les Français, apporté une aide décisive aux indépendantistes américains au XVIIIe siècle. Rien d’étonnant, dès lors, à ce que les Américains débarquent au cri de « La Fayette nous voilà ! ». Face à ce deus ex machina américain, les Allemands n’étaient pourtant pas sans armes : le front Est n’était plus, libérant l’armée de l’est qui s’empressa de rejoindre celle de l’ouest. Les Allemands avaient encore le temps de mener, début 1918, une offensive massive qui terminerait la guerre avant l’entrée en action des Américains.

La ségrégation étant encore en vigueur aux Etats-Unis dans les états du Sud. Les noirs américains étaient, de ce fait, perçus comme inaptes aux combats, car inférieurs. On leur réserva plutôt les tâches secondaires, comme la logistique. Croire les noirs inaptes au combat était une pensée singulièrement américaine et trahissant une cécité volontaire : les soldats coloniaux français luttaient vaillamment aux côtés de leurs frères d’armes métropolitains, par exemple. Les tirailleurs sénégalais étaient particulièrement reconnus pour leur valeur. Pour faire plaisir aux Français et leur idée initiale d’amalgame, Pershing donna donc quelques soldats noirs américains aux Français pour les faire patienter, le temps que le gros des forces soit formé et en capacité de rejoindre le front. Les noirs américains furent étonnés de l’accueil chaleureux que leur réservèrent les Français. Eux qui étaient descendants d’esclaves furent traités par les Français comme leurs égaux. Après tout, égaux, ils l’étaient bien devant la mort. Les noirs américains apportèrent par ailleurs un style de musique jusqu’ici inconnu des Européens : le jazz.

Côté allemand, Ludendorff prépara sa grande offensive pour 1918. L’objectif était clair mais deux voies furent proposées pour l’atteindre. Pour les Allemands, il fallait impérativement détruire une armée avant que les Américains ne pèsent dans la balance. Maintenant, quelle armée choisir ? L’armée britannique, si elle était détruite, n’entrainerait pas nécessairement le retrait du Royaume-Uni du conflit. En revanche, détruire l’armée française mettrait sans doute fin à la guerre. Pour ces deux possibilités, les Allemands pouvaient soit attaquer au nord, vers la Somme, soit attaquer de nouveau à Verdun. Ludendorff, en contradiction avec ses subordonnés, opta pour la destruction du BEF par enveloppement, perçant la ligne puis remontant vers la manche. Il fallait attaquer tôt, donc en mars, au plus tard. Sans le savoir, Ludendorff choisit le meilleur endroit possible du front pour opérer sa tentative de percée. Pour l’Empire allemand, c’était l’opération de la dernière chance.

Le secteur de la Somme était défendu par Hubert Gough et sa 5e armée britannique. Cette armée était éprouvée du fait des offensives de l’année passée, notamment de la bataille de Passchendaele. La Somme était, de surcroît, le secteur le plus compliqué à défendre dans le dispositif britannique car Haig venait d’y gagner du terrain et n’avait pas encore eu le temps d’en consolider les défenses. En mars 1918, les lignes principales étaient à peine terminées. Pour couronner le tout, les Britanniques opérèrent une grande réorganisation en 1918 : les divisions passèrent de 12 à 9 bataillons d’infanterie. Cela s’expliquait par le manque d’homme mais également par la volonté britannique d’augmenter la proportion de l’artillerie par rapport à l’infanterie dans les divisions. Les Britanniques n’étaient d’ailleurs pas les premiers à le faire, plutôt les derniers : la même réalité avait frappé l’Allemagne en 1915 et la France en 1917. Le quart des bataillons fut ainsi dispersé et ce fut largement sur l’armée de Gough que fut prélevé le tribut car les hommes qui la constituaient étaient de nouvelles recrues. A ces deux problèmes s’ajoutait le fait que Gough n’était pas franchement compétent ; il ne devait sa place qu’au fait qu’il soit le protégé d’Haig.

Le 21 mars, à 9h40, c’est cette armée non préparée qui fit face à l’opération « Michael ». Cinq heures de bombardement d’artillerie avaient fini de sonner les hommes dont la résistance à ce genre d’épreuve était plutôt estimée à environ trois heures. De plus, bien des obus à gaz furent tirés avec des mélanges de gaz : du chlore, du phosgène et du lacrymogène. Le lacrymogène obligeait les hommes à retirer leur masque pour chercher de l’air. Malheureusement, l’air disponible était alors constitué des deux autres gaz, mortels. A 9h40, ce furent ainsi 76 divisions allemandes de haute qualité qui fondirent sur les 28 britanniques de qualité variable. Le brouillard avantagea les assaillants. Moins d’une heure après l’offensive, la ligne avancée de la 5e armée était déjà submergée. Dans l’après-midi, la ligne principale, dite Ligne rouge, le fut également. Alors que les Allemands poussaient sur le point de jonction du BEF et des armées françaises, la séparation des Alliés devint de plus en plus inquiétante, provoquant une crise interalliée. Un type de crise que Pétain ne savait pas gérer. Heureusement, le général Foch, chef d’état-major français, mit tout le monde d’accord. Haig accepta même que « l’ardent » Foch devienne, le 3 avril 1918, le général en chef des Alliés.

Ferdinand Foch (1851-1929), maréchal de France et généralissime des forces alliées du front Ouest (1918).

Cette réorganisation fut la bienvenue car le 5 avril, les Allemands menaçaient Amiens. Le fait qu’un seul homme gère la défense permit la tenue de la ligne. Les Allemands connurent leurs premières déconvenues : ils furent ralentis par le champ de bataille désolé et accidenté de la Somme ; et se laissèrent aller au pillage, eux qui étaient privés de tout à cause du blocus des Alliés, ne pouvaient résister à la tentation. L’offensive « Michael » s’essoufflait sans atteindre la rupture souhaitée. Alors, Ludendorff se tourna vers son plan B : l’opération « Georgette » dans les Flandres, à nouveau contre le BEF, au nord. Le but était également d’encercler les Britanniques. L’opération fut lancée le 9 avril et le brouillard aida à nouveau. Le 29 avril, après avoir pris quelques hauteurs, « Georgette » s’épuisa tout autant. Un évènement marquant de cette offensive fut la mort du Baron rouge, le célèbre As allemand aux 80 victoires, le 21 avril 1918. Ludendorff ne se découragea pas et tenta pousser sur sa précédente percée de mars en fonçant vers le sud. Les Pariser Kanonen, produits par Krupp, que les Alliés appelaient « grosse Bertha », sept énormes canons allemands, pilonnèrent par ailleurs la capitale française, à 120 km de distance (la portée des canons de l’époque était de 30 km).

Opérations Michael (21 mars – 5 avril 1918) et Georgette (9-29 avril 1918).

La troisième phase de l’offensive allemande commença le 27 mai : les Allemands attaquèrent vers le Chemin des Dames, secteur où les unités alliées précédemment engagées étaient en repos. Ludendorff poussa jusqu’à Soissons et Château-Thierry. Le 4 juin, la célèbre bataille du bois Belleau prit place : les marines américains montrèrent ici leur détermination. Les Français leur conseillèrent de se retirer, ce à quoi Lloyd Williams, capitaine, répondit « Se retirer ? Ben merde ! On vient d’arriver. » Sans rien enlever au sacrifice de 1 811 marines (et 8 000 blessés) pour tenir ces bois, leur attitude ne fut pas décisive car les Français et les Britanniques se ressaisirent également et contre-attaquèrent. Le 9 juin, Ludendorff poursuivit ses attaques en montant une offensive plus au sud sur le Matz. Cette offensive fut brisée dès le 14 juin par une contre-attaque franco-américaine. Il faut dire que les Allemands étaient atteints d’un mal d’une toute autre nature du fait de leur carences alimentaires : la « grippe espagnole », venue d’Afrique du Sud et qui n’avait d’espagnole que le nom. Pour ne pas décourager les combattants, aucune des presses, sinon la presse espagnole (non censurée, le pays n’étant pas impliqué dans le Grande Guerre) n’en parla. En l’espace de deux ans, de 1918 à 1919, la « grippe espagnole » fit plus de 50 millions de morts (certaines évaluations récentes montent jusqu’à 100 millions), soit 5 (à 10) fois plus que la Première Guerre mondiale. Pour le seul mois de juin 1918, la grippe espagnole fit 500 000 morts chez les soldats allemands. Ludendorff vit son potentiel offensif réduit comme peau de chagrin.

Bataille du bois Belleau (1er-26 juin 1918).

En juin 1918, Ludendorff avait le choix entre envelopper les Britanniques, comme prévu, ou foncer sur Paris. Le second objectif était trop attirant et paraissait de surcroit plus aisé. Le 15 juillet, après d’amples hésitations, Ludendorff choisit de porter son attaque sur Paris. Les renseignements français avaient mis en garde les armées, les Allemands se confrontèrent donc à une forte résistance et à une énergique contre-attaque dès le 18 juillet. Les divisions américaines furent d’une utile aide dans cette entreprise. S’ensuivit la retraite allemande. Ce que les Français appelèrent la seconde bataille de la Marne prit fin. Ludendorff avait tout jeté dans cette cinquième offensive. Les Allemands n’avaient plus de forces vives. Pour pallier les pertes humaines de la guerre, il leur faudrait recruter 200 000 hommes par mois. Or, ils ne disposèrent que de 300 000 hommes sur l’année. Pas moins de 70 000 convalescents allemands furent inutilement rappelés au front. Sachant que les Américains déversaient 250 000 hommes chaque mois en France, la situation était intenable.

Offensives allemandes et contre-offensive alliée dite « Offensive des Cent Jours ».

Les Alliés rassemblèrent 600 chars vers Amiens, un record. Les Alliés lancèrent la grande contre-offensive, dite offensive des Cent Jours. Le 8 août, l’offensive rejeta en quatre jours les Allemands sur leur ligne Hindenburg de départ et la Somme fut reprise. Le 30 août, la première armée entièrement américaine fut formée. Elle partit à l’attaque des positions de Verdun le 12 septembre et fut victorieuse : les Allemands se retiraient et furent surpris par l’offensive. Les Américains n’eurent pas le temps de montrer s’ils étaient de bons soldats, mais ils détruisirent par leur simple présence le moral allemand. Leur nombre ne cessait d’augmenter et sapa le moral d’une armée qui avait courageusement tenu la ligne pendant quatre ans et qui voyait la balance des forces ainsi bouleversée. Le 28 septembre, Ludendorff et Hindenburg se résignèrent à la défaite. Pourtant en octobre, Ludendorff se ressaisit et versa même dans l’insubordination pour galvaniser ses soldats. Le 25 octobre 1918, il fut convoqué par le Kaiser. Le lendemain, il fut démis de ses fonctions. Ludendorff déclara alors à sa femme : « D’ici quinze jour, nous n’aurons plus ni Empire ni empereur, vous verrez. » Sa prévision fut juste, au jour près.

Sur le front italien, depuis la bataille de Caporetto, les Italiens étaient largement soutenus par un puissant contingent franco-britannique de 100 000 hommes. En 1918, les Autrichiens tentèrent deux offensives sur la nouvelle ligne de défense : la Piave. En vain. Ces deux échecs provoquèrent le renvoi de Conrad von Hötzendorf. Les Italiens, avec les contingents alliés, déclenchèrent la bataille de Vittorio Veneto le 24 octobre qui vit enfin les Italiens entrer en territoire autrichien. Un cessez-le-feu fut signé le 3 novembre. L’Empire d’Autriche-Hongrie, sous le jeune Charles Ier, tomba en morceaux. Les Serbes, les Slovènes et les Croates formèrent le gouvernement des « Slaves du Sud » (la future Yougoslavie) le 6 octobre. Les Polonais allemands, austro-hongrois et russes s’assemblèrent pour reformer la Pologne le 7, Etat qui avait disparu depuis 1795. La Tchécoslovaquie fut fondée le 28 octobre. Les Allemands formèrent l’Etat autrichien le 30. La Hongrie fut déclarée indépendante le 1er novembre.

Bataille de Vittorio Veneto (24 octobre-3 novembre 1918).

L’Empire ottoman, après Gallipoli et Knut, ne tint plus. Le Caucase aspirait ses forces vives. Hussein, chérif de La Mecque, se rebella en 1916. Avec l’aide de l’officier de liaison et colonel britannique T. E Lawrence, dit Lawrence d’Arabie, Hussein attaqua le flanc ottoman en Arabie et en Palestine. Sa rébellion sema le doute parmi la population arabe de l’Empire. L’émir Fayçal se vit promettre les terres de l’Empire ottoman une fois la guerre terminée. Les Britanniques ne tiendront pas parole : il ne montera que sur le trône d’Irak, sous contrôle des Britanniques. A cela s’ajoutait une armée largement indienne en Mésopotamie et une armée Britannique en Egypte. La Mésopotamie tomba en 1917. En 1918, la progression britannique atteignit Mossoul, centre pétrolier de l’Empire. Le souci principal des ottomans concernait pourtant la Palestine. Une tête de pont britannique fut établie à Gaza en 1917 et Jérusalem tomba le 9 décembre. En 1918, le commandant Allenby procéda à une percée du front turc entre le 19 et le 21 septembre. L’Empire ottoman s’écroula et signa, le 30 octobre 1918, un armistice.

Sachant que la Bulgarie commença à négocier avec les Alliés le 29 septembre, l’Allemagne resta la seule puissance centrale en guerre début novembre 1918. Si les soldats se retiraient en bon ordre, l’arrière bouillonnait. Les marins de la Hochseeflotte se mutinèrent le 3 novembre. Les révoltes Spartakistes bolchéviques de Rosa Luxembourg et Karl Liebknecht secouèrent Berlin le 9 novembre. Le même jour vit l’abdication du kaiser Guillaume II, qui crut jusqu’à la fin pouvoir garder le pouvoir en s’appuyant, comme la Prusse l’avait toujours fait, sur les militaires. La maison Hohenzollern signa son arrêt de mort quand ses six fils furent contraints de renoncer au trône. Une délégation allemande négociait déjà les termes de la paix dans la forêt de Compiègne, à Rotondes, dans un wagon devenu célèbre. Foch exposa des termes extrêmement durs aux Allemands qui mèneront à des termes encore plus durs lors de la signature du traité de Versailles, le 28 juin 1919. Le 11 novembre 1918, la guerre prit officiellement fin à 11h, c’est-à-dire la onzième heure du onzième jour du onzième mois.

Signature de l’armistice à Rotondes, 11 novembre 1918, 5h15 du matin, colorisé.
Annonce de la fin de la Première Guerre mondiale dans le journal.

Source (texte) :

Keegan, John (2005). La Première Guerre mondiale. Paris : Perrin, 570p.

Sources (images) :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Ferdinand_Foch (Ferdinand Foch)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Op%C3%A9ration_Michael (opération Michael)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_du_bois_Belleau (bataille du bois Belleau)

http://histgeo604608.canalblog.com/archives/2020/06/22/38377477.html (offensives front Ouest 1918)

https://www.linternaute.fr/actualite/guide-histoire/1749725-armistice-de-1918-un-wagon-restaurant-et-des-militaires-le-deroule-du-11-novembre/ (armistice à Rotondes)

https://lepetitjournal.com/lisbonne/larmistice-de-1918-100-ans-243857 (fin de la guerre dans les journaux)

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bataille_de_Vittorio_Veneto (bataille de Vittorio Veneto)

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