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Brièvement : le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (1804-1815)

Brièvement : le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (1804-1815)

Consul puis Consul à vie après la Révolution française (1789-1799), le général Bonaparte savait que l’un de ses homologues pourrait, comme lui l’avait fait le 18 Brumaire an VIII, renverser le régime. Après avoir stabilisé la France, signé le Concordat avec le pape Pie VII en 1801 et promulgué le code civil en 1804, il fut alors fait empereur des Français par un plébiscite la même année. L’Europe était en paix après la victoire française contre la Deuxième Coalition (1798-1802)….

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Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XIII) : les Cent Jours et Waterloo (1815)

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XIII) : les Cent Jours et Waterloo (1815)

Napoléon revenu au pouvoir, la Septième Coalition formée, les Coalisés étaient intraitables : ce serait la guerre. Napoléon disposait de 210 000 Français à l’enthousiasme exceptionnel. La troupe avait foi en Napoléon, moins en les officiers qui s’étaient, selon la soldatesque, compromis durant la restauration royale. En trois mois, l’armée était apte à l’offensive. Napoléon dirigeait l’Armée du Nord, 122 000 hommes. Une armée du Rhin, 23 000 hommes, des Alpes, 24 000 hommes et plusieurs corps d’observation formaient le reste du dispositif. L’Empereur, décrétant…

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Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XII) : le Congrès de Vienne et le vol de l’Aigle (1814-1815)

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XII) : le Congrès de Vienne et le vol de l’Aigle (1814-1815)

Avec la déchéance de Napoléon, la paix fut signée dès le 23 avril 1814. Le traité de Paris et les accords de Londres réglèrent les questions européennes les plus simples, les plus ardues seraient discutées au congrès de Vienne. Celui-ci s’ouvrit le 3 novembre 1814 pour durer 9 mois ! Talleyrand représentait la France de Louis XVIII. Pourtant le quadratique vainqueur ne voulait pas s’encombrer avec la France, vaincue. Les conférences des Quatre (Angleterre, Autriche, Prusse, Russie) puis celles des Huit…

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Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XI) : la Campagne de France (1814)

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XI) : la Campagne de France (1814)

Les Coalisés étaient à la frontière naturelle de la France. La Confédération du Rhin, dont la déliquescence était déjà avancée, acheva de s’effondrer. Seule la Saxe, occupée par les Coalisés, restait fidèle : se rendre aux Coalisés signifiait pour elle perdre son territoire. L’alliance franco-allemande n’était plus. L’Allemagne et l’Espagne tombées, l’Italie sombrant, la France était acculée à son sanctuaire national. La déclaration de Francfort écartait les divergences et donnait priorité à la défaite de Napoléon. Metternich envoya pourtant unilatéralement une…

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Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie X) : la campagne de Saxe (1813)

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie X) : la campagne de Saxe (1813)

La campagne de Saxe débuta en 1813 non loin de Leipzig et Dresde en terres allemandes Le 2 mai, à Lützen, les Coalisés, commandés par Blücher le tsar et le roi de Prusse, voulurent couper l’armée de Napoléon en deux avec 140 000 hommes. Tout le poids de l’attaque, pendant 4h, se porta sur le seul corps de Ney qui, en large infériorité numérique, tint le terrain ou recula lentement. Marmont lui porta finalement assistance avec son corps et, assailli par…

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