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Étiquette : Traité de Schönbrunn

Brièvement : le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (1804-1815)

Brièvement : le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (1804-1815)

Consul puis Consul à vie après la Révolution française (1789-1799), le général Bonaparte savait que l’un de ses homologues pourrait, comme lui l’avait fait le 18 Brumaire an VIII, renverser le régime. Après avoir stabilisé la France, signé le Concordat avec le pape Pie VII en 1801 et promulgué le code civil en 1804, il fut alors fait empereur des Français par un plébiscite la même année. L’Europe était en paix après la victoire française contre la Deuxième Coalition (1798-1802)….

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Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie VII) : l’apogée territoriale et politique (1810-1811)

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie VII) : l’apogée territoriale et politique (1810-1811)

Au faîte de sa puissance après le traité de Schönbrunn, Napoléon voulait aller toujours plus loin, craignant de détraquer la machine s’il s’arrêtait. Un attentat contre sa personne manqua de l’arrêter de force, le 12 octobre 1809. Napoléon décida de résoudre le problème papal. Pie VII refusait les investitures de l’Empire, de reconnaître Murat à Naples, Joseph à Madrid, soutenait l’insurrection espagnole et aurait, disait-on, un accord secret avec l’Autriche. Napoléon ordonna l’annexion des Etats pontificaux depuis Vienne, le 17…

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Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie VI) : la guerre de Cinquième Coalition (1809)

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie VI) : la guerre de Cinquième Coalition (1809)

Depuis Austerlitz, l’armée autrichienne avait été profondément remaniée par l’archiduc Charles, frère de l’empereur et ministre de la guerre : imitant les Français, l’infanterie se substituait à la cavalerie comme priorité. Vienne exclue d’Allemagne, d’Italie, perdant la Dalmatie, ne supportant plus le Blocus continental, voulait sa revanche. François Ier était pourtant seul à céder au parti de la guerre, tout au plus l’Angleterre donnerait-elle quelques subsides, et encore, pas en abondance. Napoléon, lui, ne voulait pas de cette guerre : son Empire…

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