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Étiquette : Seconde République espagnole

La guerre civile espagnole et l’Espagne franquiste (partie V) : La bataille de Madrid et ses ramifications (novembre 1936 – mars 1937)

La guerre civile espagnole et l’Espagne franquiste (partie V) : La bataille de Madrid et ses ramifications (novembre 1936 – mars 1937)

Rappel : A la fin de l’été 1936, Franco avait le choix entre emporter Madrid encore mal défendue et sauver Tolède, que l’Espagne républicaine avait décidé de reprendre. Contre l’avis de tous, Franco opta pour Tolède, symbole mais surtout un fabuleux tremplin médiatique et politique pour lui permettre d’atteindre son objectif : devenir l’unique dirigeant de l’Espagne nationaliste. Avec la chute de Tolède le 27 septembre, Franco parvint à faire infléchir les autres généraux nationalistes de la Junte de Défense nationale…

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La guerre civile espagnole et l’Espagne franquiste (partie IV) : Erreur volontaire pour Tolède, horreur de la guerre et réaction internationale

La guerre civile espagnole et l’Espagne franquiste (partie IV) : Erreur volontaire pour Tolède, horreur de la guerre et réaction internationale

Rappel : En ralliant le Mouvement au dernier moment, le général Franco donna au soulèvement orchestré par le général Mola une chance de l’emporter. Franco fut l’auteur de la première grande victoire nationaliste qui consista à faire passer l’armée espagnole d’Afrique en Andalousie. Il obtint également à cette occasion le soutien de l’Italie fasciste et de l’Allemagne nazie. En Espagne, Mola lança des colonnes armées vers toutes les villes importantes du nord du pays, verrouilla la frontière franco-espagnole et attaqua Madrid,…

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La guerre civile espagnole et l’Espagne franquiste (partie I) : le contexte historique et politique (1813-1936)

La guerre civile espagnole et l’Espagne franquiste (partie I) : le contexte historique et politique (1813-1936)

Pour l’Espagne, le XIXe siècle fut celui de la décadence. L’Empire espagnol s’effondra alors qu’il était un bon ascenseur social et apportait richesses et dynamisme à la métropole. Le règne catastrophique et absolu de Ferdinand VII, après l’invasion napoléonienne, accéléra les choses. Si bien que la fin de vie du roi fut dénommée la « Décennie honteuse » (1824 à 1833). À la mort du roi (1833), les guerres civiles carlistes prirent le relais (1833-1839, 1845-1849 et 1872-1876). Les carlistes…

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