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Étiquette : général Drouet d Erlon

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XIII) : les Cent Jours et Waterloo (1815)

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XIII) : les Cent Jours et Waterloo (1815)

Napoléon revenu au pouvoir, la Septième Coalition formée, les Coalisés étaient intraitables : ce serait la guerre. Napoléon disposait de 210 000 Français à l’enthousiasme exceptionnel. La troupe avait foi en Napoléon, moins en les officiers qui s’étaient, selon la soldatesque, compromis durant la restauration royale. En trois mois, l’armée était apte à l’offensive. Napoléon dirigeait l’Armée du Nord, 122 000 hommes. Une armée du Rhin, 23 000 hommes, des Alpes, 24 000 hommes et plusieurs corps d’observation formaient le reste du dispositif. L’Empereur, décrétant…

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Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XII) : le Congrès de Vienne et le vol de l’Aigle (1814-1815)

Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie XII) : le Congrès de Vienne et le vol de l’Aigle (1814-1815)

Avec la déchéance de Napoléon, la paix fut signée dès le 23 avril 1814. Le traité de Paris et les accords de Londres réglèrent les questions européennes les plus simples, les plus ardues seraient discutées au congrès de Vienne. Celui-ci s’ouvrit le 3 novembre 1814 pour durer 9 mois ! Talleyrand représentait la France de Louis XVIII. Pourtant le quadratique vainqueur ne voulait pas s’encombrer avec la France, vaincue. Les conférences des Quatre (Angleterre, Autriche, Prusse, Russie) puis celles des Huit…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (PARTIE II) : Première Coalition et guerre extérieure en 1792-1793

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (PARTIE II) : Première Coalition et guerre extérieure en 1792-1793

Du fait de la Révolution française, une Première Coalition de puissances européennes fut formée dès 1792. L’Autriche, la Prusse et des princes allemands lancèrent leurs armées direction Paris. L’armée coalisée totalisait 134 000 hommes : 50 000 formaient l’aile droite (en Belgique, vers Bruxelles), 42 000 Prussiens formaient le centre sous les ordres du généralissime, le duc de Brunswick (nord de l’Allemagne, entre Cologne et Francfort) et 25 000 Autrichiens du prince de Hohenlohe-Kirchberg formaient l’aile gauche (légèrement au sud de Francfort). Pour compléter ces…

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