Archives de
Étiquette : tsar

La Première Guerre mondiale (partie VIII) : l’année de la rupture des armées de l’Entente (1917)

La Première Guerre mondiale (partie VIII) : l’année de la rupture des armées de l’Entente (1917)

Rappel : Au-delà de la chasse aux navires allemand sur les océans lointains, plusieurs batailles navales se déroulèrent en mer du Nord, dans l’espace séparant le Danemark et le Royaume-Uni. Parmi celles-ci, les plus importantes furent la bataille d’Heligoland (1914), la bataille du Dogger Bank (1915) et la bataille du Jutland (1916), toutes des victoires britanniques, bien que celle du Jutland – la plus grande bataille navale de la Première Guerre mondiale – soit une victoire à la Pyrrhus. Ces batailles…

Lire la suite Lire la suite

La Première Guerre mondiale (partie VII) : batailles navales, blocus maritime, fronts Est, italien, ottoman et colonial (1916)

La Première Guerre mondiale (partie VII) : batailles navales, blocus maritime, fronts Est, italien, ottoman et colonial (1916)

Rappel : Les économies belligérantes, non préparées à une guerre totale et ayant de ce fait déjà atteint leurs limites en 1915, durent verser dans l’économie de guerre pour que leur puissance militaire ne s’en trouve plus restreinte. En France, les femmes, notamment, furent embauchées à tour de bras pour un salaire peu attractif et des horaires étendus : les munitionnettes. Il était temps que les économies se mettent à jour pour tenir la cadence et répondre aux ambitions des généraux…

Lire la suite Lire la suite

La guerre de Crimée (partie VII) : la bataille d’Inkerman et les affres du siège (novembre 1854 – mars 1855)

La guerre de Crimée (partie VII) : la bataille d’Inkerman et les affres du siège (novembre 1854 – mars 1855)

Rappel : En octobre 1854, 42 000 Français, 22 000 Britanniques et 5 000 Turcs posèrent le siège sur Sébastopol. Cette place forte de Crimée était solidement défendue par les Russes dirigés par Todleben. La crainte initiale des assiégés était un assaut immédiat des alliés destiné à enlever la ville. Les défenses de celle-ci étaient encore assez fragiles. La vision des Français et des Britanniques creusant des tranchées, préfigurant un long siège, rassura les défenseurs. Pourtant, était-ce une si judicieuse idée ?…

Lire la suite Lire la suite

La guerre de Crimée (partie V) : du débarquement à l’Alma (1854)

La guerre de Crimée (partie V) : du débarquement à l’Alma (1854)

Rappel : Une fois le débarquement français bien engagé sur Gallipoli, le commandant français Saint-Arnaud décida de défendre Silistrie et le Danube avec les Ottomans en mai 1854. Raglan, homologue britannique de Saint-Arnaud, suivit avec réticence. La flotte combinée franco-britannique entra elle aussi pleinement en action en avril 1854 en rasant le port militaire d’Odessa. Il faut dire qu’Odessa avait tiré sur une embarcation parlementaire. Les Occidentaux étaient bien entrés en guerre. Une première crise interalliée émergea rapidement lorsque Saint-Arnaud se…

Lire la suite Lire la suite

La guerre de Crimée (partie II) : vers la guerre (1853)

La guerre de Crimée (partie II) : vers la guerre (1853)

Rappel : Depuis Charlemagne (vers 800), la puissance franque puis française fut reconnue par les Musulmans comme celle à qui incombait la tâche de protéger les lieux saints et les chrétiens d’Orient. Cette tradition fut perpétuée par les croisades puis la signature des Capitulations de 1535 entre François Ier et Soliman le Magnifique. L’Empire ottoman renouvela à plusieurs reprises cette prérogative française. Avec le temps, la France en vint à ne protéger plus que les catholiques. Après la chute de Constantinople…

Lire la suite Lire la suite