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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie X) : la fin de la guerre de Deuxième coalition (1800)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie X) : la fin de la guerre de Deuxième coalition (1800)

Le régime consulaire ne pouvait se targuer d’une situation militaire enviable. Malgré la retraite définitive des Russes, les Autrichiens alignaient toujours 110 000 hommes en Italie. Napoléon Bonaparte, à la tête du gouvernement français, profita de l’arrêt des combats suscité par les victoires de Masséna en Suisse pour enrôler de nouveau soldats. L’armée du Rhin, commandée par Moreau, était la plus grande des deux armées principales de la France. Moreau, prudent à l’extrême, servirait d’immense diversion pour l’action énergique, audacieuse et…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VIII) : la marine révolutionnaire et l’expédition d’Egypte (1798-1799)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VIII) : la marine révolutionnaire et l’expédition d’Egypte (1798-1799)

La marine de guerre française, la Royale, était devenue la plus puissante régnant sur les mers et avait atteint son zénith sous Louis XVI lors de la guerre d’indépendance américaine. La bataille de Chesapeake en 1781, qui força les Britanniques à abandonner les Treize colonies, marqua le temps de l’une des plus belles marines qu’eût jamais la France. Cette superbe marine militaire se délita jusqu’à toucher le fond à partir de la Révolution française. La Convention montagnarde ne voulait plus…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VII) : la campagne d’Italie (1796-1797)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VII) : la campagne d’Italie (1796-1797)

Ayant largement progressé en Italie, Bonaparte avait supporté le principal des actions militaires de l’Autriche sur un front que le Directoire n’avait de cesse de considérer comme secondaire. Et ce malgré ses grandes victoires à Montenotte ou encore à Castiglione. Le siège de Mantoue suivait son court. Bonaparte reçut l’ordre de foncer vers le Tyrol pour faire une diversion en faveur des armées de Moreau et Jourdan. Wurmser, qui avait intercepté cet ordre, mit au point un plan invitant Bonaparte…

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