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Étiquette : Général Jourdan

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IX) : la guerre de Deuxième Coalition en 1799

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IX) : la guerre de Deuxième Coalition en 1799

Alors que Napoléon était en Egypte, la Deuxième Coalition menaçait le Directoire en Europe. Fait étonnant, cette coalition voyait s’allier deux vieux ennemis : les empires ottoman et russe. Ainsi, l’Angleterre, la Russie, l’Empire ottoman, Naples et l’éternelle Autriche formaient la Deuxième Coalition. Le Portugal et le royaume de Sardaigne se préparaient également à la guerre. Concernant le royaume de Sardaigne, la France avait fait de la région piémontaise une république sœur, dite cisalpine. Le roi sarde ne possédait donc plus…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VI) : les débuts de la campagne d’Italie (1796)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VI) : les débuts de la campagne d’Italie (1796)

Le jeune régime du Directoire, malgré l’armistice sur le front du Rhin, n’en avait pas fini de s’inquiéter de la situation militaire. Français comme Autrichiens préparaient la prochaine lutte. L’armistice n’était pas fait pour durer. Au nord-est, le général Moreau commandait 78 000 hommes et Jourdan 76 000 hommes. Carnot, depuis Paris, supervisait le front entier. Face à eux, le feld-maréchal Wurmser commandait une armée de 82 000 hommes tandis que l’archiduc Charles avait 93 000 hommes sous sa férule. L’armistice étant toujours effectif…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie V) : la chute de Robespierre et la Convention thermidorienne (1794-1795)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie V) : la chute de Robespierre et la Convention thermidorienne (1794-1795)

Au fait de sa puissance, Robespierre, l’Incorruptible, représentation de l’Etre Suprême de cette nouvelle religion d’Etat, semblait invincible et faisait vivre la Terreur. Pourtant, il n’était pas le seul à donner la direction de la Convention et les actions locales les plus atroces étaient bien souvent spontanées. Le rôle véritable de Robespierre dans la Terreur est sujet à débats. Par ailleurs, il était à la fin de son programme. Il prit des vacances d’un mois. Certains le voulaient au pouvoir,…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IV) : la montée en puissance de Robespierre (1794)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IV) : la montée en puissance de Robespierre (1794)

La terrible année 1793 terminée, 1794 s’annonçait meilleure. Le soulèvement fédéraliste était vaincu : la guerre de Vendée ne faisait plus que de rares remous, Lyon, Marseille et Toulon étaient rentrées, par la force, dans les rangs. La Terreur ne prenait pas fin pour autant en 1794 et prenait même un nouvel essor. Robespierre devenait assurément de plus en plus puissant et la situation nationale était sensiblement plus enviable en cette nouvelle année. Le pays, en effervescence, alignait 600 000 hommes répartis…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (PARTIE II) : Première Coalition et guerre extérieure en 1792-1793

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (PARTIE II) : Première Coalition et guerre extérieure en 1792-1793

Du fait de la Révolution française, une Première Coalition de puissances européennes fut formée dès 1792. L’Autriche, la Prusse et des princes allemands lancèrent leurs armées direction Paris. L’armée coalisée totalisait 134 000 hommes : 50 000 formaient l’aile droite (en Belgique, vers Bruxelles), 42 000 Prussiens formaient le centre sous les ordres du généralissime, le duc de Brunswick (nord de l’Allemagne, entre Cologne et Francfort) et 25 000 Autrichiens du prince de Hohenlohe-Kirchberg formaient l’aile gauche (légèrement au sud de Francfort). Pour compléter ces…

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