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Étiquette : Général Joubert

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IX) : la guerre de Deuxième Coalition en 1799

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IX) : la guerre de Deuxième Coalition en 1799

Alors que Napoléon était en Egypte, la Deuxième Coalition menaçait le Directoire en Europe. Fait étonnant, cette coalition voyait s’allier deux vieux ennemis : les empires ottoman et russe. Ainsi, l’Angleterre, la Russie, l’Empire ottoman, Naples et l’éternelle Autriche formaient la Deuxième Coalition. Le Portugal et le royaume de Sardaigne se préparaient également à la guerre. Concernant le royaume de Sardaigne, la France avait fait de la région piémontaise une république sœur, dite cisalpine. Le roi sarde ne possédait donc plus…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VII) : la campagne d’Italie (1796-1797)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VII) : la campagne d’Italie (1796-1797)

Ayant largement progressé en Italie, Bonaparte avait supporté le principal des actions militaires de l’Autriche sur un front que le Directoire n’avait de cesse de considérer comme secondaire. Et ce malgré ses grandes victoires à Montenotte ou encore à Castiglione. Le siège de Mantoue suivait son court. Bonaparte reçut l’ordre de foncer vers le Tyrol pour faire une diversion en faveur des armées de Moreau et Jourdan. Wurmser, qui avait intercepté cet ordre, mit au point un plan invitant Bonaparte…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VI) : les débuts de la campagne d’Italie (1796)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VI) : les débuts de la campagne d’Italie (1796)

Le jeune régime du Directoire, malgré l’armistice sur le front du Rhin, n’en avait pas fini de s’inquiéter de la situation militaire. Français comme Autrichiens préparaient la prochaine lutte. L’armistice n’était pas fait pour durer. Au nord-est, le général Moreau commandait 78 000 hommes et Jourdan 76 000 hommes. Carnot, depuis Paris, supervisait le front entier. Face à eux, le feld-maréchal Wurmser commandait une armée de 82 000 hommes tandis que l’archiduc Charles avait 93 000 hommes sous sa férule. L’armistice étant toujours effectif…

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