Archives de
Étiquette : général A. P. Hill

La guerre de Sécession (partie XIX) : les sièges d’Atlanta et de Petersburg, les fronts figés (été 1864)

La guerre de Sécession (partie XIX) : les sièges d’Atlanta et de Petersburg, les fronts figés (été 1864)

Rappel : Dans l’Union comme dans la Confédération, les impératifs de la guerre et les revers militaires fragilisèrent la position des présidents Lincoln et Davis. Le premier avait besoin de victoires militaires pour remporter les prochaines élections présidentielles. Le second subissait les contrecoups des revers militaires significatifs de l’été 1863 (Vicksburg et Gettysburg). Pourtant, la Confédération pouvait encore espérer renverser la tendance en l’emportant sur le champ-de-bataille pour favoriser une victoire démocrate dans le Nord, face à Lincoln, en 1864. Pour…

Lire la suite Lire la suite

La guerre de Sécession (partie XIV) : de Manassas à Antietam (août-septembre 1862)

La guerre de Sécession (partie XIV) : de Manassas à Antietam (août-septembre 1862)

Rappel : Durant la guerre de Sécession, la médecine n’avait pas encore connu la révolution bactériologique. De ce fait, la mortalité chez les soldats malades ou blessés était nettement plus élevée qu’aujourd’hui, bien que nettement moins élevée que celle du début du XIXe siècle. L’Union bénéficia du travail remarquable de Hammond et Letterman qui firent beaucoup pour prendre efficacement en charge les blessés sur le champ de bataille. Des deux côtés, des infirmières se révélèrent talentueuses pour soigner les hommes. Certaines…

Lire la suite Lire la suite

La guerre de Sécession (partie XII) : conscription, finances et bataille des Sept-Jours.

La guerre de Sécession (partie XII) : conscription, finances et bataille des Sept-Jours.

Rappel : Le général Buell autorisa enfin, début 1862, le général Grant et le contre-amiral Foote à agir sur les fleuves Tennessee et Cumberland, faiblement défendus par les Confédérés. Les Fédéraux déferlèrent sur le fort Henry, à moitié en ruine. Ils marchèrent ensuite sur le fort Donelson qui offrit une plus vive résistance. Sur le front Ouest, cette percée fédérale coupait en deux les forces confédérées. Le général Johnston se décida à agir et porta son coup le plus sévère sur…

Lire la suite Lire la suite