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Brièvement : la guerre de Crimée (1853-1856)

Brièvement : la guerre de Crimée (1853-1856)

Depuis Charlemagne (vers 800), la puissance franque puis française fut reconnue par les Musulmans comme celle à qui incombait la tâche de protéger les Lieux Saints et les chrétiens d’Orient. Cette tradition fut perpétuée par les croisades puis la signature des Capitulations de 1535 entre François Ier et Soliman le Magnifique. L’Empire ottoman renouvela à plusieurs reprises cette prérogative française. Avec le temps, la France en vint à ne protéger plus que les catholiques. Après la chute de Constantinople (1453),…

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La guerre de Crimée (partie IX) : la chute de Sébastopol et le Congrès de Paris (1855-1856)

La guerre de Crimée (partie IX) : la chute de Sébastopol et le Congrès de Paris (1855-1856)

Rappel : Le siège vit en 1855 une multiplication des bombardements alliés sur Sébastopol. Ceux-ci étaient de plus en plus fréquents et violents. Ils écrasèrent les défenses russes surtout en avril, juin et août. En parallèle, les Britanniques motivèrent une opération vers Kertch pour couper la ligne de ravitaillement des assiégés en Crimée. Cette ligne coupée en mai, les Russes commencèrent à mourir de faim en plus des balles, des obus et de la maladie. Chaque jour, il en mourrait plusieurs…

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La guerre de Crimée (partie VII) : la bataille d’Inkerman et les affres du siège (novembre 1854 – mars 1855)

La guerre de Crimée (partie VII) : la bataille d’Inkerman et les affres du siège (novembre 1854 – mars 1855)

Rappel : En octobre 1854, 42 000 Français, 22 000 Britanniques et 5 000 Turcs posèrent le siège sur Sébastopol. Cette place forte de Crimée était solidement défendue par les Russes dirigés par Todleben. La crainte initiale des assiégés était un assaut immédiat des alliés destiné à enlever la ville. Les défenses de celle-ci étaient encore assez fragiles. La vision des Français et des Britanniques creusant des tranchées, préfigurant un long siège, rassura les défenseurs. Pourtant, était-ce une si judicieuse idée ?…

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