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Étiquette : général Moreau

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie X) : la fin de la guerre de Deuxième coalition (1800)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie X) : la fin de la guerre de Deuxième coalition (1800)

Le régime consulaire ne pouvait se targuer d’une situation militaire enviable. Malgré la retraite définitive des Russes, les Autrichiens alignaient toujours 110 000 hommes en Italie. Napoléon Bonaparte, à la tête du gouvernement français, profita de l’arrêt des combats suscité par les victoires de Masséna en Suisse pour enrôler de nouveau soldats. L’armée du Rhin, commandée par Moreau, était la plus grande des deux armées principales de la France. Moreau, prudent à l’extrême, servirait d’immense diversion pour l’action énergique, audacieuse et…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IX) : la guerre de Deuxième Coalition en 1799

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IX) : la guerre de Deuxième Coalition en 1799

Alors que Napoléon était en Egypte, la Deuxième Coalition menaçait le Directoire en Europe. Fait étonnant, cette coalition voyait s’allier deux vieux ennemis : les empires ottoman et russe. Ainsi, l’Angleterre, la Russie, l’Empire ottoman, Naples et l’éternelle Autriche formaient la Deuxième Coalition. Le Portugal et le royaume de Sardaigne se préparaient également à la guerre. Concernant le royaume de Sardaigne, la France avait fait de la région piémontaise une république sœur, dite cisalpine. Le roi sarde ne possédait donc plus…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VI) : les débuts de la campagne d’Italie (1796)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie VI) : les débuts de la campagne d’Italie (1796)

Le jeune régime du Directoire, malgré l’armistice sur le front du Rhin, n’en avait pas fini de s’inquiéter de la situation militaire. Français comme Autrichiens préparaient la prochaine lutte. L’armistice n’était pas fait pour durer. Au nord-est, le général Moreau commandait 78 000 hommes et Jourdan 76 000 hommes. Carnot, depuis Paris, supervisait le front entier. Face à eux, le feld-maréchal Wurmser commandait une armée de 82 000 hommes tandis que l’archiduc Charles avait 93 000 hommes sous sa férule. L’armistice étant toujours effectif…

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La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IV) : la montée en puissance de Robespierre (1794)

La Révolution française et les guerres révolutionnaires (partie IV) : la montée en puissance de Robespierre (1794)

La terrible année 1793 terminée, 1794 s’annonçait meilleure. Le soulèvement fédéraliste était vaincu : la guerre de Vendée ne faisait plus que de rares remous, Lyon, Marseille et Toulon étaient rentrées, par la force, dans les rangs. La Terreur ne prenait pas fin pour autant en 1794 et prenait même un nouvel essor. Robespierre devenait assurément de plus en plus puissant et la situation nationale était sensiblement plus enviable en cette nouvelle année. Le pays, en effervescence, alignait 600 000 hommes répartis…

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