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Étiquette : général Creighton Abrams

Brièvement : la guerre du Viêt Nam (1955-1975)

Brièvement : la guerre du Viêt Nam (1955-1975)

Au sortir de la Seconde Guerre mondiale, les tensions montèrent en Indochine des suites du vacillement de l’autorité française. Hô Chi Minh, communiste, menait le combat pour l’indépendance. La guerre d’Indochine éclata en 1946 et dura jusqu’en 1954. Les Etats-Unis, prônant l’anticolonialisme, décidèrent pourtant de soutenir les Français financièrement. Ce revirement obéissait aux logiques de la guerre froide qui débutait entre les deux Grands (USA et URSS). Les Américains, sous les administrations Truman et Eisenhower, s’impliquèrent de plus en plus…

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La guerre du Viêt Nam (partie X) : le tournant, Nixon veut gagner la paix (1969)

La guerre du Viêt Nam (partie X) : le tournant, Nixon veut gagner la paix (1969)

Rappel : Après l’offensive du Têt en 1968, le président Johnson annonça ne pas se présenter à sa réélection. Il préparait même la paix avec Hanoi. Avec l’assassinat de Robert Kennedy (candidat démocrate), Nixon remporta l’élection américaine (contre Humphrey). En attendant l’investiture de Nixon, le président Thieu s’appliqua à faire traîner la paix. Sur le terrain, le délitement américain et la corruption du régime de Saigon étaient endémiques. Pourtant, le général Abrams remplaça Westmoreland dans le commandement des forces américaines. Il…

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La guerre du Viêt Nam (partie IX) : Les nouveaux dirigeants américains enterrent la paix (1968-1969)

La guerre du Viêt Nam (partie IX) : Les nouveaux dirigeants américains enterrent la paix (1968-1969)

Rappel : Les Américains, qui pensaient voir la lumière au bout du tunnel en 1967, subirent l’année suivante la première offensive généralisée du Nord-Viet Nam et du FNL. De fin janvier à août 1968, trois attaques, considérées comme autant de vagues de l’offensive du Têt, déferlèrent sur le Sud-Viêt Nam. La première fut une surprise et, de ce fait, dévastatrice. Si les pertes étaient équilibrées, quoique plus élevées chez les assaillants, les conséquences politiques de l’attaque furent immenses : une véritable débâcle…

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