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Étiquette : Charles II d'Angleterre

Le règne de Louis XIV (partie X) : préludes à la magnificence et propagande

Le règne de Louis XIV (partie X) : préludes à la magnificence et propagande

Rappel : Le règne de Louis XIV s’inscrivit dans la continuité de la monarchie absolue bourbonienne. La monarchia absoluta témoignait cependant bien plus d’une monarchie sans liens que sans limite. Le pouvoir royal était limité par les lois fondamentales du royaume, la peur de la sanction divine si le roi se montrait sacrilège et la responsabilité de tout un peuple. Le souverain pouvait être condamné par ses tribunaux et était le garant d’un équilibre, une fragile hiérarchie que la sanction d’un…

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Le règne de Louis XIV (partie VII) : du traité des Pyrénées à la mort de Mazarin (1659-1661)

Le règne de Louis XIV (partie VII) : du traité des Pyrénées à la mort de Mazarin (1659-1661)

Rappel : Après la Fronde et malgré la guerre extérieure à mener contre l’Espagne, Mazarin, Anne d’Autriche et Louis XIV devaient apaiser la situation interne et rétablir l’absolutisme. Au prix de quelques graissages de pattes et de coups d’éclats, l’autorité fut pleinement rétablie en interne. L’Etat absolu put reprendre son rôle trifonctionnel apparemment contradictoire : fédérer, diviser et niveler. Le pouvoir devait fédérer autour de lui mais diviser pour garder une société stratifiée et équilibrée, sans qu’un ordre ne devienne trop…

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Règne de Louis XIV (partie III) : la Fronde parlementaire (1648-1650)

Règne de Louis XIV (partie III) : la Fronde parlementaire (1648-1650)

Rappel : Au XVIIe siècle, l’Etat français tendait vers l’absolutisme, c’est-à-dire la centralisation. Pour ce faire, celui-ci se structurait, récoltait mieux les impôts et imposait davantage, ce qui engendra des révoltes antifiscales répétées dans les milieux ruraux. Pourtant, ces impôts ne suffisaient pas à couvrir les coûts démesurés de la guerre, poussant l’Etat à emprunter non seulement aux banques italiennes, mais également aux « Grands ». Ces membres de l’aristocratie gardaient de ce fait une puissance significative. De par leur puissance, les « Grands »…

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