Depuis Austerlitz, l’armée autrichienne avait été profondément remaniée par l’archiduc Charles, frère de l’empereur et ministre de la guerre : imitant les Français, l’infanterie se substituait à la cavalerie comme priorité. Vienne exclue d’Allemagne, d’Italie, perdant la Dalmatie, ne supportant plus le Blocus continental, voulait sa revanche. François Ier était pourtant seul à céder au parti de la guerre, tout au plus l’Angleterre donnerait-elle quelques subsides, et encore, pas en abondance. Napoléon, lui, ne voulait pas de cette guerre : son Empire … Lire la suite de Le Premier Empire et les guerres napoléoniennes (partie VI) : la guerre de Cinquième Coalition (1809)
Copiez-collez cette URL dans votre site WordPress pour l’inclure
Copiez-collez ce code sur votre site pour l’y intégrer